Ceux qui pratiquent le Taichi Chuan disent que c’est un excellent antidote au stress.
Il favorise :
- l’équilibre
- l’alignement vertébral
- la coordination
- la concentration
- la souplesse…
Avec le temps, le Taichi Chuan apaise le corps et le mental.
Le Taichi Chuan assurera un entraînement physique doux, augmentera la capacité énergétique de celui qui le pratique et l’aidera à lutter contre l’immobilité.
Les exercices de Taichi Chuan peuvent se faire dans n’importe quelle position : en marchant, debout, assis …..… Propos tirés de l’expérience de TUNG Ying Kié
Le Taichi Chuan peut être aussi pratiqué par des personnes en situation de handicap physique ainsi que par ceux qui ont des pathologies chroniques qui peuvent être aussi dégénératives ou invalidantes (rhumatismes, fibromyalgies, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, maladies cardio-vasculaires,… ).
Le Taichi Chuan s’adapte aux handicaps moteurs et peut être travaillé en solo ou à deux avec une pratique adaptée debout ou en fauteuil. Par l’apprentissage de chemins de fonctionnements différents, il diminuera la fatigabilité, et renforcera la musculature profonde. Le pratiquant prendra conscience d’un corps retrouvé et vécu même s’il est différent.
Quelques exemples extraits d’un article du Docteur Hervé Baland paru sur le magazine électronique Yi Mag (référence du site : yimag.fr) :
- La fonction respiratoire et vasculaire : amélioration de la VO2 max, amélioration des capacités d’effort
- L’équilibre : contrôle et prévention des chutes
- Le système musculo-squelettique : amélioration de la force musculaire de l’amplitude articulaire et diminutions des douleurs arthritiques
- Psychisme : diminution de l’anxiété et de la sensibilité au stress ».
Nicolas Bounine dans son livre « Vivre debout ou l’équilibre retrouvé » insiste sur « l’importance de la pratique des arts martiaux comme le Taichi Chuan quand on souffre de SEP ou d’Alzheimer ».